J'ai consacré un chapitre de La sophrologie au féminin à la culpabilité, un sentiment bien connu des femmes. Ce "travers", plus que fréquent, agit sur le moral - et sur l'activité - comme un poison lent. Il pompe notre énergie et gâche nos meilleurs moments.
Quelques illustrations ?
- Valérie culpabilise de ne pas voir suffisamment ses parents,
- Sandrine se reproche de ne pas travailler assez vite,
- Charlotte s'en veut de ne pas être disponible pour ses enfants,
- Corinne se rend responsable des mauvais résultats scolaires de son fils,
- Isabelle s'interdit de trop dépenser,
- Marine s'accuse de l'échec de son mariage...
La plupart des femmes se sentent souvent "coupables" de quelque chose : pas assez bien, pas assez rapide, pas assez performante, pas à la hauteur, pas gentille...
Nous participons, bien souvent, à notre propre autocritique, voire nous l'accentuons sans fondement. Et subissons les affres de la culpabilité : pensées négatives, ruminations (l'esprit est saturé par toutes les réflexions que nous nous imposons), dévalorisation, perte de confiance...avec leur cortège de petits maux (boule au ventre, fatigue psychique, perte de sommeil...).
La culpabilité fait peser sur nous (à tort ou à raison) une faute, pour laquelle il va s'agir d'expier ou d'être punie. Impossible, autrement, de (re)trouver la tranquillité...
Si vous avez envie d'apprendre à "lâcher votre culpabilité", précipitez vous sur le chapitre 5 !
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